LE PROJET SPIRITUEL
La formation spirituelle compte autant que les formations littéraire, scientifique et artistique: l’exigence en chacune prépare l’enfant à être libre : libre de choisir le Beau, le Bien, son propre chemin de vérité.
Dans le temps scolaire, l’école participe au développement de la vie spirituelle des élèves, ayant pour but leur sainteté, sous le patronage et l’exemple de Saint Jean-Paul II et de Notre Dame de Toutes Grâces.
A cet effet, les enfants sont invités à mieux connaître Dieu à travers l’enseignement du catéchisme, à Le rencontrer dans la prière, à Le suivre par l’exemple des saints et à témoigner dans les services rendus.
L’équipe pédagogique, le prêtre référent et les bénévoles ont vocation à être les premiers témoins quotidiens de l’amour de Dieu.
Ils auront à cœur de mener la vie de prière de la classe (prière du matin, bénédicité, intentions de prières, efforts du moment, vertu du mois…), d’enseigner le catéchisme et d’illustrer la vie chrétienne par l’exemple des saints.
Notre spécificité spirituelle : la catéchèse du Bon Berger
La catéchèse du Bon Berger ou Bon Pasteur est inspirée de la pédagogie Montessori dans le sens où elle privilégie l’expérience des sens dans l’apprentissage. Toutes deux recherches l’éducation intégrale de l’enfant.
Elle permet aux enfants de vivre et de nouer une authentique relation avec Dieu. Elle est enracinée dans les Écritures et la Liturgie de l’Église.

Le catéchisme,
est dispensé par des catéchistes bénévoles, formées à la catéchèse du Bon Berger.
Le Prêtre référent rencontre également les enfants avant chaque temps fort du programme, et d’autres communautés de moines ou de soeurs sont invitées à des temps d’échange ou de parrainage pour offrir aux enfants une vision holistique de la grâce du sacerdoce.
La vie de l’école est profondément liée à la vie de l’Eglise et au temps liturgique, qui trouvent des échos concrets dans les activités quotidiennes.
La présence régulière d'un prêtre
Le Cours Saint Jean-Paul II bénéficie de la nomination d’un prêtre référent par le diocèse, et de sa venue régulière à l’école pour des temps de confession, discussion et jeux avec les enfants.
Quel statut pour l'école ?
« La fin de l’éducation est que l’enfant en vienne à préférer librement pour toujours le vrai au faux, le bien au mal, le juste à l’injuste, le beau au laid, et Dieu à tout. »
André Charlier